Dans le cadre de ses présentations virtuelles sur la santé et la sécurité, la NAFA a abordé l’importance d’une culture de prévention en entreprise.
En entrée de jeu, il a été précisé l’importance de changer la perception des politiques de santé et sécurité au travail au sein des parcs. L’approche doit passer de l’impression d’être surveillé du partage de la préoccupation de la santé des employés. Il faut que l’employé sente que l’entreprise tient à lui et qu’elle met en place des paramètres pour prévenir des accidents ou des maladies.
Selon l’analyse de la NAFA, la fatigue au volant, le stress ou encore la mauvaise alimentation ont un impact sur le développement de maladie ou l’occurrence d’accidents. Évidemment, l’absence d’un travailleur pour des raisons de santé a un impact immédiat sur les opérations et la productivité de toute l’équipe.
La désinfection
La pandémie de COVID-19 a mis au-devant de la scène l’importance de la décontamination des véhicules, surtout s’ils sont partagés par plusieurs utilisateurs. Ces pratiques sanitaires devraient être maintenues en tout temps, souligne Mark Foster de la compagnie Purifyd Systems lors de son intervention.
« Prendre le temps de décontaminer un véhicule, avec les bons produits et les bons protocoles, avant de les remettre en circulation est un geste important pour la prévention des maladies. La COVID n’est qu’une des nombreuses sources de contamination présentes dans un véhicule. On a ainsi constaté des problèmes de moisissures nocives dans le système de ventilation de véhicules récents. Les utilisateurs apprécient le temps consacré à une décontamination dans les règles de l’art ; ça démontre le sérieux de l’entreprise en matière de santé et sécurité. L’opération, qui doit être une approche à 360 degrés – ce qui signifie de ne pas uniquement nettoyer les surfaces avec une lingette – ne prend que quelques minutes. »