Cette année marque le 50e anniversaire de SHAD’s R&R for the Kids. Cette œuvre caritative honorable a permis d’amasser près de 6 millions de dollars au profit de Dystrophie musculaire Canada. SHAD’s souhaite atteindre et dépasser le cap des 6 millions cette année… et vous pouvez y contribuer ! Vous et votre entreprise devez être présents sur le parcours le deuxième jeudi de juin, prêts pour une formidable journée de golf, de plaisir, de dons caritatifs et de cette sensation unique que procure le fait d’agir pour ceux qui sont bien moins chanceux.
Le conseil d’administration de SHAD’s travaille très dur chaque année pour organiser cet événement. Cela demande beaucoup d’efforts et un bon nombre de personnes pour y parvenir. Nous avons rencontré trois membres du conseil engagés de longue date — Luc Champagne, Mike Fazackerley et Scott Stone — pour leur demander pourquoi ils avaient décidé de rejoindre le conseil et pourquoi ils y sont restés aussi longtemps.
Autosphere leur a posé à tous la même question : « Pourquoi avez-vous rejoint le conseil de SHAD’s et pourquoi y êtes-vous resté aussi longtemps ? »
Mike Fazackerley nous a répondu avec ces belles paroles. « Il y a maintenant plus de 30 ans, je voyais certains membres triés sur le volet de mon équipe de direction partir chaque année à SHAD’s et je me disais : “Quel privilège ce serait d’être invité un jour !” L’idée de me retrouver simplement dans la même pièce que tant de personnes connues et respectées était un tel moteur ! Je voulais y être !
Ce n’est probablement qu’à ma deuxième participation que ces mots simples, prononcés à l’origine par Fred Shaddick et répétés chaque année par la suite, ont vraiment résonné : “Il n’y a pas de vedettes dans la salle.” C’est alors que j’ai compris la véritable mission de SHAD’s R&R for the Kids.
Je ne saurais dire depuis combien de temps je suis membre du conseil de SHAD’s, mais je sais que le privilège que j’ai ressenti au début est toujours présent, et même bien plus fort aujourd’hui. Le fait qu’un groupe de personnes très occupées — dont beaucoup sont de féroces concurrents pendant les 364 autres jours de l’année — mettent tout de côté pour un objectif commun aussi gratifiant est remarquable ! Et sachez que les participants à SHAD’s, passés et présents, ont eu un impact considérable, mesurable et positif sur la vie des personnes malheureusement atteintes de troubles neuromusculaires. Chapeau à vous !
À l’approche du 50e anniversaire de SHAD’s R&R, et alors que nous espérons franchir le cap des 6 millions de dollars en dons, Marilyn James — mon ancienne collègue et amie, elle aussi engagée depuis longtemps — et moi avons estimé qu’il était temps de passer le relais à la nouvelle génération pour qu’elle poursuive cette belle aventure. »
Le fait qu’un tournoi de golf caritatif d’industrie perdure et se renforce après 50 ans est incroyable — je dirais même, sans précédent !
De la part de Marilyn et de moi-même, un immense merci à vous, anciens et actuels membres du conseil, ainsi qu’à tous les partenaires qui, hier comme aujourd’hui, ont saisi le vrai sens de ce rassemblement de l’industrie au service d’une cause aussi essentielle que celle de Dystrophie musculaire Canada. »
À ceux qui prennent la relève, nous vous faisons confiance pour porter SHAD’s pendant encore au moins 50 ans !
Luc Champagne est le seul membre québécois du conseil de SHAD’s et considère comme un immense honneur d’en faire partie et de représenter le soutien de ses collègues québécois pour SHAD’s.
« J’ai commencé ma carrière dans le secteur des pièces et services automobiles il y a 50 ans… Le tournoi de golf de SHAD’s venait lui aussi de commencer, né de la vision de Fred Shaddick et de ses amis pour venir en aide à la MDA et aux enfants. Pendant mes 20 premières années dans l’industrie, j’ai entendu parler de SHAD’s à quelques reprises, mais comme beaucoup de collègues québécois, nous ne savions pas vraiment de quoi il s’agissait.
Quand mes activités dans les médias m’ont conduit à Toronto chaque mois, j’ai vite compris la mission de SHAD’s, portée par des bénévoles passionnés qui s’investissent chaque année pour faire évoluer l’événement et amasser des dons importants pour la MDA.
« John Vanstone m’a fait l’honneur de m’inviter à rejoindre l’équipe SHAD’s afin de promouvoir le tournoi de golf à travers les médias de l’industrie automobile au Canada. »
J’ai eu la chance de bénéficier du précieux soutien d’Autosphere Média, ainsi que de nombreux autres acteurs des médias, que je remercie sincèrement — il n’y a plus de compétition quand la cause SHAD’s devient prioritaire.
J’avais également deux objectifs bien précis : créer un site Web à la fois simple et efficace pour SHAD’s, et faire mieux connaître l’événement au Québec, pour que les acteurs du secteur réalisent pleinement ce qu’est le tournoi, ainsi que l’impact exceptionnel qu’il a eu année après année.
Je ne peux pas terminer sans parler du soutien constant de mon amie et collègue Shirley Brown. Elle a toujours été présente quand il fallait avancer vite ou faire en sorte que tout soit prêt à temps. C’est, à mes yeux, une véritable figure de notre industrie.
C’est bien sûr avec un pincement au cœur que je quitte aujourd’hui ce groupe de bénévoles aussi unique qu’engagé. Mais la bonne nouvelle, c’est que ma collègue Lisa Marchese prend la relève. Je suis convaincu qu’elle saura continuer à faire rayonner le nom de SHAD’s, à renforcer sa visibilité dans le secteur, et à rappeler à tous ce que SHAD’s représente pour Dystrophie musculaire Canada. On se retrouve en juin ! »
Nous avons ensuite parlé à Scott Stone, dont le père, Greg Stone, faisait déjà partie de l’aventure aux débuts de SHAD’s.
L’une des premières choses que Scott a tenues à dire, c’est qu’il se sent honoré de faire partie du conseil. Pour lui, SHAD’s est un événement qui fait partie du patrimoine de l’industrie, et avoir la chance d’y contribuer est une véritable fierté. « Je n’y vois que du plaisir », confie-t-il. « C’est un événement formidable, qui n’a cessé de grandir au fil des années. Et notre priorité aujourd’hui, c’est de trouver les moyens de le faire perdurer. » « Cette année marque un tournant. Certains des membres les plus anciens ont beaucoup réfléchi à la suite. À ce que les gens retirent de cette journée. Et à la façon dont on peut la rendre toujours plus mémorable, plus enthousiasmante. C’est impressionnant de voir comment notre industrie se rassemble autour de SHAD’s. Chaque édition nous redonne de la fierté. »
« Ce qu’il faut maintenant, c’est continuer. Les visages changent, les générations évoluent, mais trois choses me semblent essentielles pour assurer la continuité de SHAD’s. » « D’abord, la cause en vaut la peine. Notre engagement est entièrement tourné vers une seule organisation : Dystrophie musculaire Canada.
« C’est incroyable que cet événement dure depuis si longtemps — 50 ans — c’est exceptionnel ! Et à mes yeux, trois choses assureront sa continuité, même si les noms et les visages changent et que le relais passe à d’autres. La première, c’est que la cause en vaut la peine. Notre engagement est centré sur une seule organisation caritative, Dystrophie musculaire Canada, et elle mérite tout notre soutien. SHAD’s est aujourd’hui la journée de collecte de fonds la plus importante pour la MDA. Cela a eu un impact immense sur la vie des personnes atteintes, et nous croyons qu’un jour, cette maladie pourra être guérie. C’est une perspective porteuse d’espoir.
La deuxième, c’est la générosité de cette industrie. Elle ne cesse de m’impressionner. C’est même bouleversant de voir à quel point les entreprises, les individus et les bénévoles s’investissent avec une telle constance. Si on réussit à entretenir cet enthousiasme, je suis convaincu que SHAD’s pourra encore grandir.
Enfin, il y a ce qui, pour moi, est le fondement même de SHAD’s : l’esprit de solidarité. Je ne crois pas qu’un autre pays soit capable de faire ce que nous faisons ici. Où ailleurs voit-on une industrie de concurrents directs mettre de côté la compétition, se rassembler d’un océan à l’autre pour une cause commune — et le faire dans la bonne humeur ? Pour moi, c’est ça, le Canada. »
« Dans le contexte actuel, ça prend encore plus de sens. Je ne vois pas un autre endroit au monde où l’on ferait ce que nous faisons ici. On doit en être fiers. On doit continuer à agir ainsi, à se soutenir, à se rassembler quand il le faut, et à se rappeler ce qui compte vraiment. Juste un instant. Et se dire : on est là pour quelque chose de plus grand que nous. » « C’est une période chargée en émotions pour nous tous. Mais c’est ça, être canadien. C’est notre façon d’être, d’agir, de se tenir ensemble. Et je suis profondément fier d’en faire partie.
Chaque année, quand on lance l’événement et qu’on voit cette foule de plus de 300 personnes réunies, heureuses d’être là, de vivre cette journée ensemble… ça me touche énormément. Et c’est toujours le deuxième jeudi de juin. Pour moi, ça compte énormément. »
« Je suis fier de cet événement, qui se transmet de génération en génération. Il y a des gens qui participent pour la première fois, et qui reviennent ensuite chaque année. C’est contagieux. Il faut transmettre ça à notre tour. Parce que des gens comptent sur nous. Et on compte sur eux. On a besoin les uns des autres. »
« On accueille de nouvelles personnes, plus jeunes, pleines d’idées et d’énergie. On croit en elles. Il faut leur donner l’occasion d’essayer, de participer, de s’impliquer, de se laisser gagner par l’élan. C’est une belle cause. Et une journée exceptionnelle. »
« Et je crois que peu importe ce qu’on y met, chacun repart avec autant, sinon plus, que ce qu’il a donné. Que peut-on espérer de mieux ? »
« Je suis très fier d’y être associé, de me rappeler pourquoi on y est, de savoir combien on a besoin les uns des autres, et de continuer à soutenir la MDA. Trouvons ce remède ! C’est important pour moi, comme pour tous les membres du conseil. Alors soyons au rendez-vous pour SHAD’s, le 12 juin. Venez nombreux ! »