L’Association des industries de l’automobile du Canada (AIA Canada) se réjouit de l’adoption du projet de loi 29 au Québec, une avancée significative en matière de droit à la réparation et de lutte contre l’obsolescence programmée.
Le Québec s’affirme aujourd’hui comme un précurseur au Canada en matière de législation visant à garantir aux consommateurs le droit de réparer leurs automobiles auprès du service de leur choix.
L’AIA Canada et ses milliers de membres d’un bout à l’autre du pays préconisent depuis longtemps une loi qui préserverait le choix des consommateurs et des consommatrices et permettrait à nos entreprises essentielles de l’entretien et de la réparation automobile de soutenir la concurrence sur un pied d’égalité. Nous sommes ravis de constater que cela se concrétise aujourd’hui au Québec et nous demeurons déterminés à faire pression en faveur d’une loi semblable au niveau fédéral.
Jean-François Champagne, président directeur-général de l’AIA Canada, a commenté cette adoption en disant : « Nous saluons la vision du gouvernement québécois qui a su reconnaître l’importance du droit à la réparation pour les citoyens. L’inclusion des automobiles dans le projet de loi 29 est une étape majeure vers un marché plus équitable et transparent pour les consommateurs et l’industrie du marché secondaire, également connu comme étant l’industrie de l’entretien et de la réparation automobile. »
Bien que cette étape cruciale soit franchie, l’AIA Canada s’engage à travailler de concert avec le gouvernement du Québec pour élaborer les règlements qui découleront de cette loi pour continuer d’assurer la protection des droits des consommateurs Québécois concernant l’entretien et la réparation automobile. Nous sommes déterminés à collaborer de manière constructive et à mettre en place un cadre réglementaire qui bénéficie aux consommateurs du Québec.
L’AIA Canada tient également à exprimer sa sincère gratitude envers Simon Jolin-Barrette, ministre de la Justice, et l’ensemble des parlementaires de l’Assemblée nationale du Québec d’avoir adopté le projet de loi 29 à l’unanimité. Cette unanimité témoigne du consensus clair et solide en faveur du droit à la réparation au Québec, et nous sommes convaincus que cette législation profitera à l’ensemble de la société en favorisant une plus grande durabilité et une plus grande équité pour les consommateurs.