La présence nationale offre des avantages.

Depuis 30 ans que Mike Workman est propriétaire d’un magasin de pneus à Quinte West, il a vu beaucoup de changements.

En fait, il a lui-même procédé à l’un de ces changements en rejoignant OK Tire il y a 10 ans. « OK Tire est connu dans tout le pays et je peux travailler en réseau avec d’autres magasins », explique M. Workman. Il apprécie également le fait de faire partie d’une présence nationale et le pouvoir d’achat important que lui procure OK Tire.

M. Workman a investi dans son magasin, faisant passer son espace de travail de six à huit baies. La zone d’attente des clients a également été rafraîchie par un lifting et, bien que cela ait pris la majeure partie de l’année, le résultat final en valait la peine.

Des clients et un personnel fidèles

Qu’est-ce qui permet à un magasin de prospérer pendant 30 ans ? M. Workman attribue également le mérite à son personnel qui travaille dur et à ses clients fidèles. « Sans les clients, où serions-nous ? demande-t-il. Sans personnel pour faire fonctionner les choses, rien ne se passe. J’ai la chance de pouvoir compter sur ces deux éléments. »

Certains employés travaillent chez Workman depuis de nombreuses années, et un technicien en pneumatiques fait partie du personnel depuis 17 ans. Il aimerait embaucher davantage de techniciens, mais il a du mal à trouver des personnes fiables. « Tous les métiers souffrent, note M. Workman. Nous offrons un salaire compétitif, un bon environnement de travail et nous prenons soin de nos employés, mais il est difficile de trouver du personnel. »

Il a remarqué un changement dans les types de véhicules qui franchissent ses portes. L’atelier est situé dans une zone rurale où l’on trouve essentiellement des fermes et, autrefois, la clientèle s’en tenait aux marques nationales telles que Ford, General Motors et Chrysler. Aujourd’hui, avec le développement de la zone et l’arrivée de nouveaux habitants, on trouve de tout, de BMW, Audi et Volkswagen à Hyundai et Kia.

Workman a même travaillé sur des véhicules hybrides et électriques tels que Tesla. Il s’agit principalement de pneus, mais il a également réparé des freins. « Je constate une forte augmentation, il y a de plus en plus d’arrivées », déclare-t-il.

Formation

C’est pourquoi l’un de ses techniciens se rend à Halifax pour suivre un cours sur les véhicules électriques. Il essaie de s’entraîner le plus possible. « Il s’agit d’un mélange de temps d’atelier pour certaines choses et de cours après le travail », explique M. Workman.

Il est également nécessaire d’actualiser en permanence les équipements pour rester dans l’air du temps. « C’est un cercle permanent, note-t-il. Si vous n’effectuez pas de mise à niveau, vous risquez de prendre du retard. » Un achat récent a été une machine de climatisation SnapOn EEAC et quelques scanners Autel. Et bien sûr, l’équipement des pneus est constamment amélioré et mis à niveau.

Bien qu’il y ait eu quelques problèmes de pénurie de pièces, M. Workman pense que la situation commence à s’améliorer. « Pendant un certain temps, l’obtention de certaines pièces a posé problème, explique-t-il. Nous avons élargi notre gamme de fournisseurs pour essayer de l’améliorer. »

L’atelier de M. Workman propose toute une série de services mécaniques, dont le stockage des pneus de ses clients. Il utilise des Sea Cans dans une installation de stockage séparée, pour les garder secs et propres. Grâce au logiciel Tire Storage Solutions, son atelier peut suivre l’emplacement de tous les pneus. « Nous avons un scanner, nous pouvons scanner un pneu à tout moment et savoir de qui il s’agit, l’emplacement du véhicule, tout ce que vous voulez.

Dans l’atelier, le système d’exploitation ProTractor s’occupe de la planification, de l’estimation, du contrôle et d’autres processus pour que tout se passe bien.

Courses de bus scolaires

Le fait d’appartenir à une petite communauté signifie que Workman participe à de nombreux évènements locaux. Il parraine deux équipes de football locales, un salon de l’automobile à Trenton et l’Applefest à Brighton. « Nous essayons d’être impliqués dans le plus grand nombre possible de ces activités. »

Et puis il y a la course de bus scolaires, qui a lieu deux fois par an sur la piste de vitesse de Brighton. « Il y avait 17 bus scolaires et nous étions cinq dans l’atelier à les conduire », explique M. Workman. Comme on peut s’y attendre, les bus sont quelque peu modifiés pour la course.

« Ils sont en fait assez rapides », dit-il en riant. « Nous roulons à 88 km / h (55 miles / h) sur la piste. » Apparemment, la voie est très encombrée par tous les bus, et c’est un véritable défi que de passer. M. Workman participe à des courses de bus depuis 20 ans et affirme qu’il n’y a pas de secret pour gagner. « La chance ! », plaisante-t-il. Workman n’a gagné qu’une seule fois, mais il est déterminé à en gagner d’autres. « Cela nous prend beaucoup de temps, mais c’est très amusant. »

C’est aussi un bon moyen de rester en contact avec ses clients. « C’est un grand groupe et nous aimons nous retrouver. »