ARI exploite le pouvoir de la technologie pour aider les parcs de véhicules à s’adapter à l’environnement post-COVID.
Après 16 mois de léthargie économique causée par la pandémie, les parcs reprennent leurs activités. Bien des choses ont changé au cours de cette période et s’adapter à ces transformations exige de la perspicacité et la capacité de naviguer en eaux troubles.
Afin d’aider sa clientèle à relever ces défis, ARI s’appuie sur la technologie pour leur prodiguer des conseils et leur éviter des maux de tête et des dépenses inutiles.
Durant la pandémie, l’entreprise a également priorisé l’amélioration de sa plateforme de gestion de parcs ARI insights pour la rendre plus intuitive pour l’utilisateur final tout en développant l’interface principale afin de proposer aux gestionnaires de parcs un entrepôt de données plus robuste.
Michael Stallone, vice-président du développement d’ARI, affirme que l’initiative de l’entreprise en matière d’expérience client comportait trois phases. ARI a tout d’abord cherché à accroître l’efficacité du conducteur en lançant plusieurs outils et ressources en libre-service.
« Nous avons vraiment amélioré la puissance de notre application mobile en y intégrant plus de 30 fonctionnalités permettant aux conducteurs de gérer leurs tâches journalières.
« Ainsi, au cours de la dernière année et demie, nous avons développé et présenté de nouvelles fonctions que des centaines de milliers de conducteurs utilisent maintenant pour simplifier leurs opérations quotidiennes. Les choses se passent réellement bien. »
La phase suivante portait sur le gestionnaire de parc. « Bien qu’une poignée de clients consultent ARI insights tout au long de la journée, la plupart n’y accèdent que 10 minutes à la fois », explique M. Stallone.
« Notre objectif consistait à rendre ces 10 minutes les plus efficaces possible et à faciliter grandement la vie des dirigeants. »
Une expérience de type consommateur
L’objectif ultime consiste à améliorer constamment ARI insights et son application mobile pour les rendre aussi conviviaux et efficaces que de nombreuses technologies grand public.
« Repensez aux 16 derniers mois, alors que nos clients ont dû s’adapter en temps réel à la gestion et à la communication avec les conducteurs », dit Romy Bria, vice-président des relations avec la clientèle pour ARI.
« Les technologies que nous développons permettent à notre clientèle de rationaliser la gestion de leurs véhicules et de leurs conducteurs.
« Nos clients veulent que nous leur fournissions des recommandations et trouvions des moyens pour améliorer le rendement de leur parc, mais ils veulent aussi une expérience simple et rapide, semblable à celle d’une transaction personnelle au détail. Ils souhaitent la rapidité de Google et la facilité d’Apple. »
Les outils d’ARI sont plus conviviaux et comportent des données intelligentes dont les clients des parcs peuvent se servir pour planifier l’avenir plutôt que de se contenter d’analyser les performances antérieures.
Geoff Seely, vice-président et directeur général d’ARI Canada indique que la pandémie a attiré un nouvel auditoire pour l’entreprise – un public qui a posé des questions complexes.
« Auparavant, l’évaluation du rendement d’un parc ne concernait qu’un gestionnaire et quelques experts en la matière auprès du client. Puis soudain, la pandémie a incité le directeur financier ou le vice-président de la chaîne d’approvisionnement à assister aux vidéoconférences, à poser des questions, de sorte que nous avons émis des recommanda- tions judicieuses. »
Grâce au pouvoir de l’analyse prédictive, l’équipe d’experts d’ARI a su prodiguer des conseils susceptibles d’influencer les décisions à venir.
« Nous avons pu extraire des données, les filtrer, les trier, leur faire part d’économies vérifiables, puis formuler des recommandations opportunes et percutantes basées sur ces données, ajoute M. Seely.
« Nous pouvions donc dire ce qu’il leur en coûterait s’ils ne faisaient pas ceci ou parler des millions qu’ils pourraient économiser en faisant cela, au lieu de regarder en arrière et de constater qu’ils auraient pu économiser un million de dollars s’ils avaient fait les choses autrement l’année d’avant. »
Gérer la hausse des coûts
Un des principaux défis auquel les entreprises sont confrontées concerne la hausse globale des coûts. Afin de pouvoir injecter plus de liquidités dans les comptes des sociétés, ARI dispose d’un certain nombre de stratégies susceptibles de les aider à relancer leurs activités.
« La demande de véhicules d’occasion atteignant un niveau record, certains clients profitent de notre programme d’achat-relocation, explique Geoff Seely. Nous achetons leurs véhicules pour leur relouer. Nous contribuons ainsi à accroître le flux de trésorerie de leur entreprise.
« Cela leur donne une véritable occasion de monnayer le capital pour l’investir ailleurs. Les taux d’intérêt sont bas en ce moment, nous faisons donc profiter nos clients du faible coût du financement et ils en retirent un avantage réel. »
Un autre problème de taille concerne l’incertitude sur la disponibilité des nouveaux véhicules et leur coût lorsque les usines seront de nouveau opérationnelles.
De plus, avec l’allongement du cycle de vie, les parcs subissent une augmentation des coûts d’entretien et de réparation et beaucoup se demandent comment gérer au mieux ces dépenses.
Encore une fois, grâce aux investissements consacrés à la technologie et aux données, ARI est en mesure de s’asseoir avec ses clients pour leur offrir des conseils opportuns sur la meilleure façon de gérer les coûts et les incertitudes.
Romy Bria résume bien la situation.
« Les paramètres économiques fondamentaux de la gestion de parc n’ont pas changé, ce sont les conditions qui ont changé. La capacité d’acquérir des véhicules et de structurer le calendrier de remplacement est de plus en plus incertaine.
« Nous aidons donc nos clients à comprendre que même si nous ignorons ce qui va se passer avec la livraison des véhicules, nous connaissons cependant leurs véhicules actuels et nous savons où et comment gérer leurs coûts efficacement.
« C’est ainsi que nous pouvons tirer parti du pouvoir de la technologie. »