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Redorer l’image des concessionnaires automobiles

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Charles Drouin est chef de la direction de la Corporation Mobilis, qui compte quelque 145 concessionnaires dans la grande région de Québec. Photo Corporation Mobilis

L’excellent travail de la Corporation des concessionnaires automobiles du Québec (CCAQ) dans la préparation d’un manifeste sur les bonnes pratiques rejoint la vision de nos membres.

Je ne saurais trop souligner le travail structurant effectué par Ian Sam Yue Chi et de toute son équipe à la CCAQ dans la préparation de ce manifeste élaboré et adopté lors de la Rencontre au Sommet en avril dernier.

Ce manifeste qui établit clairement le besoin de redorer l’image de notre secteur de l’industrie automobile est très bien accueilli par les concessionnaires de la grande région de Québec. La transparence des opérations commerciales, le désir de reconstruire la confiance avec des consommateurs de mieux en mieux informés et la mise en place d’un code d’éthique appliqué par tous répondent aux aspirations de nos concessionnaires et certainement à ceux de toute la province.

En discutant avec des concessionnaires, il paraît évident que l’établissement de meilleures pratiques, visant un concept similaire à la création d’un ordre professionnel, est souhaitable et attendu. 

D’un autre côté, on sent une volonté que ces règles s’appliquent rigoureusement à tous, car il ne s’agit que d’une poignée de délinquants pour ternir l’image de toute la profession. Aussi, nos membres souhaitent un suivi attentif et un partage des communications concernant le déploiement de ce manifeste.

Sommes toutes, c’est une évolution très stimulante et mobilisante qui a ainsi été enclenchée par la CCAQ.

Deux salons, deux réalités

Dans un tout autre ordre d’idées, au moment de lire ces lignes notre équipe en sera aux derniers préparatifs pour la prochaine édition du Salon du Véhicule électrique de Québec, qui se déroulera au Centre de Foires du 15 au 17 septembre.

La question de la pertinence d’organiser deux salons de l’auto distincts revient souvent dans les conversations. Pourquoi ne pas combiner les deux offres en une ?

Forces est de constater que dans les faits, il s’agit de deux clientèles fort distinctes. Le plus récent sondage de la firme JD Powers indique que seulement le tiers des Canadiens considèrent l’acquisition d’un véhicule électrique lors que leur prochain achat. Cela signifie que malgré les objectifs gouvernementaux, la demande pour des véhicules à motorisation conventionnelle demeurera forte dans un avenir envisageable.
De l’autre côté, le même sondage souligne que plus de la moitié des répondants n’a jamais fait l’essai d’un véhicule électrique.

D’où l’importance à mes yeux et à ceux de tous les partenaires derrière le Salon du Véhicule électrique de présenter deux salons où les consommateurs pourront découvrir, sous un seul toit, la profondeur de l’offre des constructeurs. Et tout particulièrement en ce concerne notre évènement électrique, c’est l’occasion toute désignée pour les automobilistes, qu’ils soient adopteurs précoces de cette technologie ou non, de trouver de l’information autant sur les véhicules électriques et les équipements de recharge, mais aussi, d’en faire l’essai.

 

EMPLOIS

 
Confidentiel
Commis comptable
 
  CHÂTEAUGUAY
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ST-BASILE TOYOTA
Directeur.rice des pièces
 
  SAINT-BASILE-LE-GRAND
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ACTION CHEVROLET INC.
Technicien.ne spécialiste
 
  SAINT-HUBERT
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Procolor Repentigny Est
Débosseleur.e
 
  REPENTIGNY
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MERCEDES-BENZ WEST-ISLAND
Conseiller.ère en vente de véhicules
 
  DOLLARD-DES-ORMEAUX
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