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CBB : les prix de gros se stabilisent en septembre

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Les prix des véhicules d’occasion ont augmenté en septembre selon les données de la CBB. PHOTO CBB

Selon les données du Canadian Black Book (CBB), les prix de gros des véhicules ont augmenté de 1,5 % en septembre.

En outre, ce faisant, ils ont établi un record historique pour l’indice de conservation des véhicules d’occasion du CBB. L’indice, qui suit les valeurs des véhicules de 2 à 6 ans, a chuté de 7,2 % entre février et juin de cette année, avant d’enregistrer une reprise en V de 8,5 %, atteignant un nouveau record de 109 points d’indice.

Au cours de la semaine se terminant le 2 octobre 2020, les valeurs de gros du segment des camions légers ont augmenté de 0,12 %, les plus gros gains du segment étant réalisés par les cross-overs et les VUS de luxe sous-compacts, qui ont progressé de 0,92 %. Les minifourgonnettes (qui sont classées dans le segment des camions légers) ont connu les plus fortes baisses au cours de la même période, soit 0,56 %.

Petites baisses

Pour le segment des voitures particulières, de très faibles baisses de 0,01 % ont été observées au cours de la même période, les modèles de luxe ayant connu les plus fortes augmentations de valeur (0,59 %), tandis que les sous-compactes ont connu les plus fortes baisses (1,13 %).

Bien que les résultats des ventes du troisième trimestre aient montré une reprise assez robuste pour l’industrie automobile canadienne depuis les fortes baisses observées au printemps, il reste des défis à relever.

Une étude récente du Conseil de l’industrie automobile de l’Ontario (OMVIC) a révélé que parmi les concessionnaires interrogés, 78 % ont déclaré avoir des difficultés à s’approvisionner en stocks, qu’il s’agisse de véhicules neufs ou d’occasion.

Alors que le ralentissement de la production au printemps a réduit le nombre de véhicules neufs disponibles, du côté des véhicules d’occasion, les commentaires de l’enquête ont révélé que lors des ventes aux enchères canadiennes, les concessionnaires américains ramassent de grandes quantités de stocks en surenchérissant sur leurs homologues canadiens, créant ainsi une pénurie de véhicules d’occasion disponibles chez eux.

La confiance, un enjeu

L’enquête a également révélé que, dans l’ensemble, les détaillants ne sont pas particulièrement confiants dans les perspectives économiques à long terme de l’Ontario. Les répondants ont indiqué que 24 % sont confiants ou très confiants, 38 % sont neutres et plus d’un tiers, soit 36 %, n’ont pas confiance dans l’économie. En outre, près des trois quarts des répondants (72 %) pensent que leurs ventes seront plus faibles au cours des six prochains mois. L’étude note que 42 % des détaillants estiment que le principal facteur déterminant des ventes futures de véhicules automobiles au cours des six prochains mois sera l’amélioration de la confiance des consommateurs dans l’économie, ce qui correspond à ce que prévoient de nombreux économistes. Ils citent également la disponibilité de taux d’intérêt bas, et la disponibilité du financement (18 %) ainsi que l’offre d’automobiles (26 %) comme étant les facteurs clés du succès futur. Sur une note encourageante, 74 % des concessionnaires ontariens interrogés indiquent qu’il est peu probable qu’ils ferment leurs portes en raison de la situation économique au cours des six prochains mois.

Approcher les niveaux prépandémiques

Par ailleurs, en ce qui concerne l’économie canadienne dans son ensemble, Statistique Canada a indiqué que le produit intérieur brut (PIB) du Canada se situe désormais à moins de 5 % de son niveau d’avant le virus, grâce à une forte poussée pendant les mois d’été. Selon Statistique Canada, de nombreuses industries se rapprochent maintenant des niveaux d’activité d’avant la pandémie. Les premières estimations suggèrent que la production économique est actuellement d’environ 95 % de ce qu’elle était en février.

D’autres nouvelles positives figurent dans une étude canadienne menée par Deloitte qui indique que la pandémie pourrait pousser les jeunes acheteurs de véhicules dans les salles d’exposition plus tôt qu’ils ne l’avaient initialement prévu. Sur les 1 022 Ontariens âgés de 18 ans et plus interrogés en août, 18 % ont indiqué que la pandémie avait accéléré leurs projets d’achat de leurs prochains véhicules. Ce chiffre est encore plus élevé pour les répondants plus âgés, puisque 31 % des personnes interrogées entre 18 et 34 ans ont indiqué que la crise avait fait avancer leurs plans. La principale raison de ce changement de comportement, selon 56 % des personnes interrogées, est la capacité du véhicule à contribuer à la distanciation sociale.

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