Le 18 octobre, l’AIA Canada et un groupe de 20 membres provenant de partout au pays ont rencontré ce matin des députés et d’autres décideurs politiques pour leur faire part des préoccupations au sujet du droit à la réparation et de son impact sur le marché secondaire.
La journée a débuté par un déjeuner parlementaire, auquel ont assisté 25 députés, et comprenait une table ronde rassemblant tous les partis. Les membres ont ensuite assisté à des rencontres individuelles avec leurs représentants locaux pour discuter de cette question en profondeur afin que le gouvernement puisse mieux comprendre l’impact sur l’avenir du secteur de 32 milliards de dollars ainsi que sur les moyens de subsistance de milliers de Canadiens qui travaillent fort.
La demande de l’AIA Canada aux députés était très précise : donner aux consommateurs canadiens un choix en matière de réparation automobile. Les constructeurs automobiles doivent partager les données des véhicules avec toute personne choisie par le consommateur, ce qui mettrait fin à la pratique actuelle selon laquelle de nombreux constructeurs automobiles rendent l’accès aux informations et aux outils de réparation plus difficile, plus coûteux et parfois impossible.
Comment les membres peuvent-ils aider ?
L’AIA Canada encourage tous ses membres à continuer à soutenir cette pression mise sur le gouvernement pour un projet de loi sur le droit à la réparation. Les membres peuvent aider de la façon suivante :
- En parlant avec son député local de l’importance d’une législation sur le droit à la réparation (voir le site Web de l’AIA pour des conseils)
- En partageant notre message sur les réseaux sociaux en utilisant #DroitàLaRéparationCA, voici un exemple :
- [identifiez votre député] Les consommateurs canadiens devraient avoir le droit de choisir qui répare leur véhicule et qui peut accéder aux données pour le faire. Nous soutenons l’initiative de @AIAofCanada en faveur de la législation #DroitàLaRéparationCA afin de protéger l’industrie de l’entretien automobile, qui représente 32 milliards de dollars, et des milliers d’emplois canadiens.