Les parcs pourraient perdre plus de 3200 $ par véhicule au moment du remarketing.
HPI, une société basée au Royaume-Uni, estime qu’un véhicule conduit par un gros fumeur pourrait perdre plus de 3200 $ de sa valeur en raison des dommages à l’habitacle et de l’odeur de fumée persistante.
« Fumer dans un véhicule n’est jamais une bonne chose lorsqu’il est question de la valeur de revente », affirme Fernando Garcia, directeur de la consommation chez HPI. « La première chose que fera un concessionnaire devant le véhicule d’un fumeur sera de réduire l’offre de reprise. Ce véhicule devra être remis dans un état propre à la revente, ce qui devient nettement plus difficile et coûteux s’il était conduit par un fumeur. »
Selon HPI, le nettoyage du véhicule ne garantit pas que l’odeur de tabac disparaisse. Dans certains cas, il faudra même enlever le tissu de l’habitacle, ce qui demeure un processus long et coûteux. De plus, la réparation des marques, des taches et des brûlures de cigarettes sur la planche de bord et les garnitures s’ajoute aux coûts de remise en état, ce qui réduit une fois de plus la valeur de revente.