À l’approche des vacances, alors que les 5 à 7 et les soirées arrosées risquent de se multiplier, Ford et Éduc’alcool ont convié les médias à la Cirka, à Montréal, afin qu’ils puissent expérimenter la combinaison de simulation de lendemain de veille.
Huber Sacy, directeur général d’Éduc’alcool, était sur place pour parler des effets méconnus du lendemain de veille, qui vont de simples maux de tête à une sensibilité à la lumière, une hypersensibilité aux bruits, en passant par un temps de réaction plus lent et des troubles de la concentration.
Dès l’âge de 12 ans, certains Québécois boivent trop, ce qui veut dire que 26 % des garçons et 11 % des filles ont consommé cinq verres ou plus, lors d’une même occasion, au moins une fois, au cours de la dernière année. Chez les 18-24 ans, la proportion des buveurs abusifs monte à 40 %.
« Même après avoir dormi, même avec un taux d’alcool dans le sang revenu à zéro, il se pourrait qu’on ne soit pas en pleine possession de nos moyens pour conduire », a affirmé M. Sacy.
« La sécurité est une priorité pour Ford. C’est dans cette optique que Ford reconnaît le besoin de sensibiliser la population aux dangers de conduire avec les symptômes de lendemain de veille, a souligné Christine Hollander, directrice des communications de Ford du Canada. Nous sommes fiers de collaborer avec Éduc’alcool pour cet événement. »