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Tendances : Voiture autonome

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On connaît tous des automobilistes pour qui l’idée de renoncer au plaisir de prendre le volant et de sentir qu’ils ont le plein contrôle de leur voiture semble irréaliste. Abandonner le bonheur de conduire à un ordinateur assisté d’une série de capteurs et de systèmes automatisés leur paraît un pur sacrilège.

Pourtant, bon nombre d’automobilistes sont beaucoup plus disposés à adopter la voiture autonome qu’on pourrait le croire. Un sondage réalisé en début d’année par le comparateur d’assurances Kanetix.ca révèle que 26 % des Canadiens attendent avec impatience l’arrivée de la voiture autonome, alors que 56 % se disent prêts à se laisser convaincre à condition que la technologie soit au point.

Si tout se passe comme prévu, la technologie devrait être au rendez-vous. Plus d’un siècle après qu’Henry Ford ait lancé l’industrie en misant sur la popularité de l’automobile, ses successeurs et les autres constructeurs s’allient aux grands noms du secteur des technos pour parier sur la voiture autonome.

En avant, toute !
Différents prototypes ont été présentés au Consumer Electronics Show en début d’année, dont ceux de Chrysler, BMW et Toyota, auxquels s’ajoutent les Honda NeuV et Volkswagen Sedric, qui font tourner les têtes ce printemps dans les salons de l’auto d’Europe.

Le développement des systèmes de conduite évoluée mis au point par Google, Apple et Tesla va bon train. L’acquisition récente par Intel du fabricant de systèmes anticollision Mobileye, qui freinent automatiquement la voiture dès qu’un obstacle est détecté dans sa course, donne aux optimistes de quoi se réjouir.

Le système est déjà à bord de 15 millions de voitures, et Intel anticipe une augmentation exponentielle de la demande au cours des prochaines années.

Une arrivée tout en douceur
La voiture autonome est déjà là, en partie du moins. Pour en observer les premières manifestations, on n’a qu’à penser aux systèmes automatisés de freinage et de régulation de vitesse qui équipent certaines voitures de série, et aux mécanismes qui détectent la présence d’une voiture dans l’angle mort et empêche le dépassement le temps que la voie se libère.

L’automatisation qui se retrouve aujourd’hui dans la plupart des voitures est ce que l’on appelle une automatisation de niveau 1. L’automatisation complète est appelée de niveau 5. Certains optimistes croient que des voitures de niveau 4, qui n’ont besoin de l’assistance d’un conducteur que de temps à autre, pourraient être mises en marché dès 2020.

En sus des développements technologiques, il faudra aussi régler les questions de réglementation et d’assurance, dont les niveaux de responsabilité en cas d’accident. L’Ontario vient d’ailleurs d’autoriser des essais routiers sur son territoire, une initiative qui devrait aussi servir à trouver réponse à certaines de ces questions.

Quant au nombre d’accidents, une majorité d’observateurs croient que la voiture autonome devrait en diminuer l’occurrence, car près de neuf accidents sur dix sont dus au facteur humain. La machine fera-t-elle mieux que l’homme ? C’est ce qu’aiment croire les adeptes de la voiture autonome. Si l’on se fie au sondage, une bonne proportion d’automobilistes semblent prêts à tenter l’expérience.

Catégories : Parc

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