Les achats de véhicules automobiles ont bondi de 11 % par rapport à l’an dernier pour se situer de nouveau à une moyenne annualisée supérieure à 2 millions d’unités en mai, révèle l’économiste en chef de la Banque Scotia, Carlos Gomes, dans son analyse mensuelle.
De nombreux incitatifs et une lutte féroce pour obtenir des parts de marché ont réduit l’écart entre les trois grands constructeurs américains à moins de 5500 unités cette année, alors que celle-ci se situait plutôt autour de 21 000 l’an dernier.
En raison des nombreuses promotions, les ventes d’automobile ont grimpé de 3 % par rapport à 2016. Cela représente la première avance depuis le printemps 2015. Il faut rappeler qu’avant la reprise du mois passé, les ventes de voitures avaient décliné de 5 %. Du côté des camions légers, les achats de mai ont été presque trois fois supérieurs à ceux des cinq derniers mois.
Aux États-Unis, les ventes ont dépassé les attentes avec un total annualisé de 16,6 millions d’unités pour le cinquième mois de l’année.